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  • Photo du rédacteur: Chloé LEMINIHI
    Chloé LEMINIHI
  • 28 févr. 2021
  • 2 min de lecture

🧐 « Light », « 0% », « à teneur réduite en »… Les produits allégés ont envahi les rayons de nos supermarchés et près d’1 Français sur 4 succomberait ainsi à leurs promesses.




➡️ Cependant globalement, après avoir surfé sur la tendance minceur, le marché du light commence à s’essouffler. Les aliments allégés sont-ils vraiment meilleurs pour notre santé ? Peut-on réellement se fier à ces mentions ? ❓

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🔹 Définition :

Un produit peut être estampillé « allégé » uniquement si sa teneur en nutriment ou sa valeur calorique est réduite d’au moins 25 % par rapport à un produit de référence.

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🔸 Mais…

Seul hic, la législation n’impose pas que l’allègement soit global : les fabricants peuvent choisir entre sucres, matières grasses, sel ou calories… et jouer à fond sur cette ambiguïté. 👩🏻‍💼


🔹 Résultat ?

Les denrées « light » ne sont pas toujours aussi diététiques qu’on le croit : un yaourt 0% aux fruits peut être plus calorique qu’un yaourt ordinaire nature, et 0% de matières grasses ne signifie pas 0% de calories ! En effet, allégés en matières grasse ne veut pas dire dépourvu de sucres… qui sont sources de calories !

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🔸 Un effet pervers !

On rencontre un problème à l’allègement alimentaire : comme c’est allégé, on est susceptible d’en reprendre… et d’ingérer bien plus de calories ! 👎🏻


🔹 Vous l’aurez compris, l’étiquetage nutritionnel est le moyen d’encourager les consommateurs à faire des choix alimentaires plus sains. Cependant, les messages tels que « faible en matières grasses » peuvent inciter à la surconsommation de ces produits. Les produits dits « light » ne sont donc pas forcément l’idéal… ⛔️ Surtout pour votre porte-monnaie ! ‼️

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